pendant trois ans, j'ai téléphoné au 39 19, elles m'ont soutenue
Sans leur soutien, je n'aurais rien fait
Sans leur écoute , je serais restée sous les coups.
Jour après jour, elles m'ont soutenue,m'ont aidée à voir clair....
A comprendre que j'étais une victime.
Elles m'ont tenu la main vers la liberté.
Merci, alors toi, qui souffre en silence: va vers elles, elles te guideront vers la libération.
APPELEZ LE 3919 VIOLENCES CONJUGALES INFO
prix d'un appel local
Une femme sur 10 est victime de violences conjugales (enquête ENVEFF 2001).
Une femme décède tous les 3 jours sous les coups de son compagnon (Ministère de l’Intérieur 2006).
Telles sont les informations qui ont fait prendre conscience à l’opinion publique que la violence conjugale est un fléau social, un problème de société que les pouvoirs publics doivent prendre en compte.
Depuis 1992 La F.N.S.F. gère le service téléphonique national d’écoute « Violences Conjugales – Femmes Infos Services ».
Depuis mars 2007, ce service répond au 3919, au coût d’un appel local, et s’appelle désormais : « VIOLENCES CONJUGALES INFO »
C’est un numéro d’écoute anonyme. Ce n’est pas un numéro d’appel d’urgence. En cas d’urgence, appelez la police ou la gendarmerie.
Une équipe de 20 écoutantes professionnelles assure une écoute bienveillante.
L’écoutante instaure un climat de confiance qui permet à la personne de parler de la situation qui l’amène, de clarifier l’analyse qu’elle en fait.
L’objectif de cette écoute est de permettre à la personne d’agir, grâce à une information appropriée sur les démarches à suivre et sur le rôle des intervenants sociaux.
Si la personne le désire, elle peut être orientée vers une association spécialisée qui pourra l’accompagner dans ses démarches. Le service « Violences Conjugales Infos » répond à un réel besoin.
Entre le 1er août 2007 et le 31 janvier 2008, il a traité 9214 appels.
- 67 % des appels proviennent des victimes elles-mêmes.
- 97 % d’entre elles sont des femmes
- 45 % d’entre elles n’ont fait aucune démarche avant d’appeler le service.
La liberté est au bout du chemin
Sans leur écoute , je serais restée sous les coups.
Jour après jour, elles m'ont soutenue,m'ont aidée à voir clair....
A comprendre que j'étais une victime.
Elles m'ont tenu la main vers la liberté.
Merci, alors toi, qui souffre en silence: va vers elles, elles te guideront vers la libération.
APPELEZ LE 3919 VIOLENCES CONJUGALES INFO
prix d'un appel local
Du lundi au samedi, de 8h à 22h
Les jours fériés de 10h à 20h
(sauf les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre)
Les jours fériés de 10h à 20h
(sauf les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre)
Une femme sur 10 est victime de violences conjugales (enquête ENVEFF 2001).
Une femme décède tous les 3 jours sous les coups de son compagnon (Ministère de l’Intérieur 2006).
Telles sont les informations qui ont fait prendre conscience à l’opinion publique que la violence conjugale est un fléau social, un problème de société que les pouvoirs publics doivent prendre en compte.
Depuis 1992 La F.N.S.F. gère le service téléphonique national d’écoute « Violences Conjugales – Femmes Infos Services ».
Depuis mars 2007, ce service répond au 3919, au coût d’un appel local, et s’appelle désormais : « VIOLENCES CONJUGALES INFO »
C’est un numéro d’écoute anonyme. Ce n’est pas un numéro d’appel d’urgence. En cas d’urgence, appelez la police ou la gendarmerie.
Une équipe de 20 écoutantes professionnelles assure une écoute bienveillante.
L’écoutante instaure un climat de confiance qui permet à la personne de parler de la situation qui l’amène, de clarifier l’analyse qu’elle en fait.
L’objectif de cette écoute est de permettre à la personne d’agir, grâce à une information appropriée sur les démarches à suivre et sur le rôle des intervenants sociaux.
Si la personne le désire, elle peut être orientée vers une association spécialisée qui pourra l’accompagner dans ses démarches.
Entre le 1er août 2007 et le 31 janvier 2008, il a traité 9214 appels.
- 67 % des appels proviennent des victimes elles-mêmes.
- 97 % d’entre elles sont des femmes
- 45 % d’entre elles n’ont fait aucune démarche avant d’appeler le service.
La liberté est au bout du chemin