Osez devenir: stop à la violence conjugale

Publié le par vero

To     Be  Com "to b com attitude" : Osez devenir !
Les violences dans le couple. Introduction.

Important : To B Com association lutte contre la violence interpersonnelle et institutionnelle, pas contre les hommes. Nous comptons des messieurs au rang de nos clients victimes et nous nous battons pour eux autant que pour les dames. Nous travaillons aussi à l'évolution des personnes victimes aussi bien que violentes.
 
Chanson d'introduction de Claude Beaudin, auteur, compositeur interprète canadien : " Voici une chanson que j'ai écrite pour toutes les femmes victimes de violence.Si seulement ça pouvait aider a sauver une femme de cet enfer..ou qu'un homme prenne conscience de sa violence...j'aurais atteint mon but."  

Pour les hommes aussi...  "Quand un homme ou une femme connait la noirceur dans son enfance, l'espoir peut lui faire voir le soleil ...avec le temps...Il faut apprendre à aimer.. "  Claude Beaudin.

Cette série d'articles a été rédigée en 2008 par Isabelle Voidey *, en synthèse de son étude menée auprès de sources françaises, internationales, médicales, gouvernementales, d'organismes d'Etat, d'associations, et auprès de la population directement.
 
Cette synthèse tente de favoriser une meilleure connaissance des violences conjugales, propose des solutions de prévention, de désamorçage de crise, d'évolution pour les personnes violentes qui veulent se libérer, de recentrage pour les victimes éclatées (NDL: attention, il ne s'agit pas ici de santé, je ne suis pas médecin, mais de confort de vie relationnelle et émotionnelle).
Elle mesure l'ampleur du problème, analyse les mécanismes, l'impact, indique les conduites à tenir, apporte des connaissances sur les principes de communication et les disfonctionnements, apprend à repérer et neutraliser des systèmes nocifs.
De très nombreux témoignages, films, brochures et affiches documentent la synthèse.
Protéger, soulager la souffrance de l'un comme de l'autre, apporter des méthodes d'amélioration de la vie en couple, de soi-même, pour retrouver son bien-être sont les idées directrices de ce site qui s'adresse à tous, aux hommes comme aux femmes, dans leurs situation de personne victime ou  violent(e).
Ces méthodes non-médicales ToBCom® sur les tensions, les émotions, la communication, la perception de l'environnement, l'amélioration du vécu en toute situations, peuvent être aussi appliquées aux problèmes de violences intrafamiliales en général, dans un sens plus élargi de la famille, aux formes de violence au travail ( harcèlement, stress excessif, épuisement...), à l'amélioration des relations interpersonnelles en général ( connaissances, amis, voisins, administrations...) et pour soi tout simplement.

La violence dans les relations amoureuses entre les adolescents est abordée. Il convient d'accorder beaucoup d'importance à cet aspect : les jeunes vivent  une période critique de la construction de leur personnalité, ils posent les bases de leur vie future, mais sont de plus en plus privés de repères piliers, et empoisonnés par les messages de certains médias, dont quelques-uns sont particulièrement dangereux, notamment en ce qui concerne les pratiques sexuelles et la relation homme-femme dans un couple, les conduites excessives, ( alcoolisme "flash") , jeux de violences ( gifles surprise sur des passants,  passagers de bus ou violences plus graves, filmées sur téléphone portable). On est passé en quelques années de la génération jeux vidéo à celle qui passe à l'acte.
Selon une enquête menée dans près de 40 pays en 1999, au moins une femme sur trois est battue, contrainte à des rapports sexuels ou maltraitée au cours de sa vie. Le phénomène touche toutes les sociétés, sur toute la surface du globe*. 4 millions de femmes sont victimes de violences conjugales en Europe.
Aujourd'hui, en France, au moins une femme sur dix est victime de violences conjugales.
Pour les femmes agées de 16 à 44 ans, les violences conjugales sont la première cause de décès et d'invalidité, avant le cancer, les accidents de la route, et même la guerre (rapport OMS). Il faut ajouter à ces chiffres les décès par suicide; il y a cinq fois plus de suicides chez les femmes victimes de violences conjugales que la moyenne nationale.
Rappel à la loi => infractions pénales sur les violences conjugales, le viol entre conjoints, l'incitation au suicide et la non assistance à personne en danger.
C'est une urgence de santé publique.
La violence masculine à l'égard des femmes a un coût social et économique massif. Les conséquences de cette violence qui s'exerce en toute impunité, dans le secrêt du couple, sont multiples pour notre société.
L'auteur s'intéresse ici aux formes de violence envers les femme en France,en particulier la violence conjugale, sans stigmatiser les hommes ni victimiser les femmes. Selon la Commission Européenne, dans plus de 98% des cas, la violence est le fait de l'homme. Le reste est commis le plus souvent par des femmes en situation de rébellion contre un conjoint ou ex-conjoint violent, ou dans une tentative de défense.
Il s'agit de définir les violences subies spécifiquement par les femmes en raison de leur "genre" féminin, de comprendre comment fonctionnent les mécanismes.
Le but est de connaitre pour reconnaitre, dépister, protéger et soulager les souffrances de femmes, autant d'ailleurs parfois, que celles de certains auteurs des violences.
Ils se sont d'ailleurs exprimés au moyen de témoignages.
Un autre objectif essentiel consiste à envisager l'avenir, et à se demander comment  favoriser l'évolution de la situation. Le droit prend davantage en compte les violences faites aux femmes, mais ce phénomène est encore récent: les lois ne sont pas toujours appliquées, les éléments sont difficiles à rapporter, et surtout, leur efficacité passe par une évolution indispensable des mentalités individuelles et des normes sociales et culturelles.
Des initiatives intéressantes ont vu le jour, notamment en Europe, dont certaines concernent directement les hommes qui essaient de sortir d'un mode de fonctionnement létal pour tous.
L' auteur espère que ce dossier de synthèse suscitera de nouvelles idées et initiatives positives et constructives, innovantes, sans parti pris, ni amalgame, ni stigmatisation d'aucune sorte. 
* Source
www.info-forhealth.org/pr/prf/ffl1 1 edsum.shtml
De quoi s'agit-il ?
La question est plus complexe qu'il n'y parait. En effet, certaines formes de violence sont difficiles à identifier. Les violences ne se résument pas aux coups, elles existent sous de nombreuses formes.
Les femmes sont plus particuliérement vulnérables à trois types de violences :
la violence interpersonnelle (infligée par une personne sur une autre), violence conjugale, violence domestique, et notamment la violence à caractère sexuel, qui comprend :
- la violence conjugale : exercée par le partenaire, et même lorsqu'il y a rupture.
Deux types de violence conjugale existent : " le terrorisme conjugal" et la "violence situationnelle".
- La violence grave qui s'effectue dans "un contexte de terrorisme conjugal" se définit par la volonté d'anihiler la compagne, psychologiquement et physiquement. Cette violence-là provient majoritairement des hommes.
- La "violence situationnelle", elle, renvoie soit à l'autodéfense, soit à la violence réciproque, soit à la lutte pour le pouvoir des deux conjoints.*
Il n'y a pas de profil type de femme victime de violences ou d'agresseur, toutes les classes sociales, de revenus, de niveaux d'études sont quasiment également représentées. Cependant, les situations de violences sont agravées quand l'un des conjoints est au chômage.
la violence conjugale est un processus au cours duquel un partenaire utilise la force ou la contrainte pour perpétuer et/ou promouvoir des relations de domination.
Ces comportements agressifs et violents ont lieu dans le cadre d'une relation de couple (entre partenaires ou ex-partenaires) et sont destructeurs quelle qu'en soit leur forme et leur mode.
A la différence du conflit conjugal classique, la relation entre les deux partenaires est inégalitaire. Cette violence récurrente est toujours dirigée contre la même personne.
Selon la Commission Européenne, dans plus de 98% des cas, la violence est le fait de l'homme. Le reste est commis le plus souvent par des femmes en situation de rébellion contre un conjoint ou ex-conjoint violent, ou dans une tentative de défense.
Chiffres extraits du dossier de presse du Ministère accompagnant le lancement du n° d'appel national "3919", en 2007 :
"En France, en 2006, 168 personnes sont décédées, victimes de leur compagnon ou compagne.
- 137 femmes décédées de violences conjugales : 1 femme tous les 3 jours
- 31 hommes décédés : 1 homme tous les 13 jours (les ¾ battaient leur femme). Sur les 29 femmes auteurs sur des hommes (16 en zone police et 13 en zone gendarmerie) qui ont été recensées, 15 d’entre elles étaient victimes de violences de la part de leur partenaire (dont 12 en zone police).
- 228 victimes au total : 11 enfants, 3 adultes proches des victimes ont
également été tués et 46 auteurs se sont suicidés. "
Note de l'auteur : je remarque que les suicides de femmes maltraitées ne sont pas comptés : le chiffre de la mortalité exploserait alors.  En moyenne 10000 personnes se suicident chaque année en France, et le taux de suicide chez les femmes violentées est cinq fois supérieur à la moyenne.( 25 fois plus selon certaines sources).  Le silence sur cette réalité montre qu'un tabou très lourd pèse encore sur l'acte du suicide. Une méconnaissance des vrais moteurs qui condamne au silence, à la souffrance et au désespoir :"si vous avez des pensées de suicide, c'est que vous êtes une malade"..." la dépression est une maladie"... " quand les gens sont malades, vous savez"..." vous faites souffrir votre entourage"........la boucle est bouclée par l'image que vous renvoie le plus souvent la société, le corps médical, tous ceux vers qui vous lancez vos sos, image qui entre en résonnance avec celle que vous assène votre conjoint violent, dominateur et destructeur.
Une extrapolation simple permet une approche du nombre des femmes poussées au suicide. Le nombre total de femmes décédées directement ou indirectement de violences conjugales grimpe à 762 par an, soit 2 femmes par jour.Voir paragraphe " les chiffres, le choc".
Rappel à la loi : loi sur l'incitation au suicide et la non-assistance à personne en danger. Quid de son application ?
Extrait du manifeste du 8 mars, initié par des médecins engagés dans la lutte contre les violences conjugales. Lire le manifeste, signer la pétition.
"Une situation des plus inquiétantes :
Les violences conjugales, les violences sexuelles, les violences au travail, sont des processus au cours desquels une personne utilise la force ou la contrainte pour promouvoir des relations hiérarchisées et de domination. Violences physiques, psychologiques, sexuelles et économiques sont autant de moyens utilisés par l’agresseur pour établir un contrôle permanent sur la victime. Dans la grande majorité des cas, les victimes sont des femmes. Le recours à la violence n’a qu’un objectif : le contrôle et la domination de l’autre. L’agresseur utilise toutes les formes de violences nécessaires pour établir cette relation de domination. La victime est maintenue sous l’emprise de l’agresseur, isolée physiquement et socialement, détruite physiquement et psychologiquement. La peur est le lot quotidien de ces femmes, la honte et le sentiment de culpabilité qu’elles ressentent les amènent à se taire et à subir encore plus ces violences. Ces personnes fragilisées, restent isolées et connaissent insuffisamment les recours possibles. Les professionnels médico-sociaux, policiers et judiciaires n’assurent pas l’accompagnement qu’ils devraient. Les associations d’aides et de soutien sont insuffisantes et ne bénéficient pas de suffisamment de moyens."
Lire le manifeste, signer la pétition.

- la violence domestique : exercée par un membre de la famille dans l'espace privé.
la violence institutionnelle : qui regroupe les lois et les pratiques discriminétoires, ou des partiques de maltraitance institutionnelle.
la violence sociale et économique : qui touche particulièrement les femmes et les conduit parfois dans une situation très précaire.

* Source Michael P. Johnson, psyhologue américain, en 2000.

C'est dans la vie de couple que les femmes subissent le plus de violences physiques, psychologiques et sexuelles. *
* Source enquête ENVEFF disponible sur
www.ined.fr/publications/pop_et_soc/pes364/index.html
(ENVEFF :Enquête Nationale Envers les Femmes en France).
" A l'origine de la violence domestique, on trouve à la fois des facteurs sociaux et une vulnérabilité psychologique. Cependant, la vulnérabilité psychologique, sans la facilitation apportée par le contexte social, ne suffit pas à rendre un homme violent, analyse Marie-France Irigoyen, psychiatre et psychanalyste, dans Femmes sous emprise. Les ressorts de la violence dans le couple. Oh! Editions. Ces violences ne seraient pas possibles si leurs conditions objectives n'étaient pas déjà installées par le sytème social."


Les chiffres : le choc.

Les chiffres réels :
Population française en 2007: 63 millions de français, dont 31 millions de femmes, et environ 25 millions de femmes entre 20 et 50 ans.
1 femme sur 10 est victime de violences conjugales, soit 2.500000 femmes.
Chiffres nationaux des suicides :10.000 suicides par an sur une population de référence de 40 millions de français adultes représentent 0,025 % de la population adulte, hommes et femmes confondus (taux de suicide moyen en France).
Le taux de suicide est 5 fois plus élevé ( 25 fois plus selon certaines sources) chez les femmes victimes de violences conjugales soit 0,025 *5 = 0,125 % de la population de femmes maltraitées
0,025*2.500000 /100 = 625 femmes maltraitées suicidées par an.
Ajoutées ax 137 femmes tuées suite aux violences conjugales : 762 femmes meurent directement ou indirectement de violences conjugales chaque année, soit, non plus 1 femme tuée tous les 3 jours, mais 2 femmes décédées par jour !

Recours aux services de santé (d'après une étude américaine, puisque l'Europe n'a que très peu d'études).


22 à 35 % des femmes qui consultent dans les services d'urgence présentent des symptômes consécutifs aux mauvais traitements.
2% des femmes victimes de violences conjugales sont identifiées aux urgences.
28% des femmes s'adressant à des dispensaires de médecine interne ont subi des violences de leur partenaire à un moment ou un autre de leur vie.
10 à 32% des femmes examinées dans les services de gynécologie obstétrique ont une histoire de violence domestique.
53 à 72% des femmes hospitalisées dans un service de psychiatrie sont des femmes maltraitées par leur conjoint. (Mazza, 1996).
40 à 60 % des femmes victimes de violence conjugale a consulté un psychiatre. (Bergman, 1987).
Enfin, un chiffre français : il y a cinq fois plus de suicides chez les femmes victimes de violences conjugales que la moyenne nationale.  (25 fois plus selon certaines sources).
L'anxiété, une dépression ou une tentative de suicide
sont des réponses à la violence psychologique, à la terrreur et au danger.
Ils sont aussi la conséquence d’une situation où la femme se sent dans l’impossibilité de fuir le contrôle de son partenaire maltraitant et où elle perçoit l’incertitude de son avenir.
idem pour les enfants et adolescents dans ce contexte.
L'abus de substances :
tabac, alcool, drogues, médicaments à visée antalgique ou psychique peut être interprété comme un comportement ou une tentative d’automédication pour faire face à l’anxiété et à la violence qui la provoque.

 

Quelques chiffres, d'après l'enquête de l'ENVEFF, menée en 2000 auprès de 6970 femmes agées de 20 à 59 ans.

10% des femmes ont été en situation de violence conjugale au cours des 12 mois précédents l'enquête. 1 femme sur 10.  Plus précisémment :
8% des femmes ont été victimes de harcèlment psychologique. Entrent dans cette catégorie les femmes pour lesquelles plus de trois des actes suivants ont été commis "souvent" dans l'année par leur conjoint :insulter, injurier, menace d'emmener les enfants, contrôler les sorties ou les relations, imposer des comportements, mépriser, dévaloriser, dénigrer, brimer, mettre à l'écart, menacer, faire du chantage affectif etc.
2,5% des sondées déclarent avoir subi une agression physique au moins une fois dans l'année (brutalités, menaces à l'aide d'une arme, tentative d'assassinat). Et 1,4% des personnes interrogées mensionnent des agressions répétées. 
des agressions sexuelles ont été déclarées par 0,9% des enquêtées (relations sexuelles forcées, gestes sexuels imposés).
L'étude statistique montre également que certaines femmes cumulent différents types de violences dans l'espace privé.
Pourtant, le silence règne : près de la moitié des femmes interrogées ont parlé de ces agressions pour la première fois lors de l'enquête. D'autres se sont probablement tues, ou n'ont pas reconnu le système dans lequel elles sont retenues sous emprise.

 

Conclusion

Agressions sexuelles, violence conjugales, harcèlement sexuel, traite des personnes, mutilations génitales, infanticides, mariages forcés, "crimes d'honneur", crimes "pour cause de dot", inégalité dans l'accès à l'éducation, aux revenus et aux postes à responsabilité : certaines violences touchent particulièrement voire exclusivement les femmes.
Parce qu'un schéma de pensée universellement répandu confine la femme dans le rôle de dominée, et enferme l'homme dans un statut préhistorique.
Les lois et les mentalités commencent à évoluer, des études sont menées, mais trop de blocages et de menaces pèsent encore sur les femmes. Il existe des ressources, en chacun de nous, dans nos cultures et sociétés, pour avancer.
A nous de préparer les nouvelles générations.


*   Isabelle Voidey, agée de 42 ans, de formation initiale scientifique et technique, aéronautique, puis formée en sciences humaines, économie familiale, relation d'aide, à travaillé dans le privé et dans le secteur public, dont quelques années passées aux commissions de surendettement de la Banque de France où elle a pu mettre en oeuvre des facultés à concilier des interêts contradictoires, navigant entre le désespoir des familles d'un côté, et la pression des créanciers de l'autre, tout en repérant quelques personnes indélicates et manipulatrices au passage. Elle a travaillé aussi auprès d'organisations humanitaires comme la Croix Rouge et un organisme caritatif. Elle a été membre d'équipage-sauveteur sur les vedettes de sauvetage de la SNSM et a effectué le tage national d'intervention au large. Elle est aussi sauveteur en équipe dans les services de secours d'Etat comme sapeur-pompier. Elle est monitrice d'Etat de secours grand public, diplômée pour former des équipes de secours et assurer leur formation continue. Elle est aussu rédactrice d'articles, de récits, des nouvelles, dont certains ont interessé des éditeurs, et photographe amateur.
Elle a connu directement les violences conjugales sous toutes ses formes, traversé des chocs particulièrement destructeurs: agression agravée, frôler la mort, deuil de son fiancé pilote hélico-sauveteur tué en mission, douleur de la perte de ses enfants, perte d'emploi, se retrouver du jour au lendemain à la rue sans ressources avec deux valises après avoir atteint un niveau professionnel aisé, procédures judiciaires destructrices, puis frappée par une maladie grave, tout cela dans la plus grande solitude à cette époque.
Isabelle a survécu, reconstruit sa vie, et développé des facultés de rebond exceptionnelles. Elle n'éprouve aucun sentiment négatif de colère, ressentiment ou amertume, qui ronge souvent les gens de l'intérieur et les prive d'une énergie utile à leur reconstruction. Elle vit plus heureuse, une vie plus profonde et authentique dépouillée de tout ce qui était finalement superficiel, développe son relationnel, des activités pour son bien-être et pour autrui, s'épanouit, et souhaite aujourd'hui partager avec vous les méthodes qu'elle a développé au fil des années, de l'expérience au quotidien, de ses recherches, pour vous aider à supporter vous aussi les chocs de la vie et faire naître une nouvelle vie toute neuve et plus belle, ou simplement pour améliorer votre condition d'être et de vie actuelle.
"Je suis comme vous, je n'ai rien de plus. Si j'ai pu y arriver, vous aussi vous le pouvez, et chaque être humain à droit à une autre chance.
J'espère que vous partagerez en retour avec moi vos succès, obtenus grâce à ce site et votre travail personnel. J'ai déjà reçu de nombreux témoignages de remerciements, et j'espère pourvoir les publier (anonymement), pour servir d'exemple et d'encouragement à celles et ceux qui abordent cette question pour la première fois, pour qu'ils "osent devenir" !"

 

Annuaire et guide de la bretagne

 

Homme ou femme, personne victime ou violente :
Osez Devenir ! Vous le pouvez !

Si la violence conjugale est l'affaire de tous, en sortir est à la portée de chacun !


Source de l'article, To B Com association,
site internet
http://www.violence-conjugale-aider-victimes-et-violents.com/,
blog
http://osezdevenir.wordpress.com/

Publié dans VIOLENCE CONJUGALE

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I
Re-bonjour,Si vous ne pouvez pas insérer un lien au moyen de l'outil à cet effet dans votre gestion de blog, vous pouvez toujours indiquer la source de l'article que vous citez. Je vous autorise à publier l'article si vous citez la source et l'adresse url :Source de l'article, To B Com association, site internet http://www.violence-conjugale-aider-victimes-et-violents.com/, blog http://osezdevenir.wordpress.com/Bonne continuationIsabelle Voidey
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I
Bonjour,Je constate que vous avez copié collé une page de mon blog oserdevenir.wordpress.com.Si j'apprécie l'intérêt que vous portez à mon action, j'aurais apprécié que vous preniez contact avec moi pour vous présenter, que nous fassions connaissance, et me demander l'autorisation de publier cet extrait. J'aurais aimé aussi voir apparaitre un lien vers mon blog et mon site internet. J'aurais pu, en retour, diriger un lien vers vous. Je vous demande de bien vouloir prendre contact avec moi, afin de voir ensemble comment diffuser l'information en respectant la propriété intellectelle. Cordialement. Isabelle Voidey. To B Com.
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V
<br /> je suis désolée, il y a beucoup de chose que je ne sais pas faire. Ainsi je ne sais creer un lien. dites moi comment faire Isabelle et je ne ferais avec plaisir.Je vous prie de ne pas prendre<br /> ombrage et vous invite a prendre contact avec moi. par le biais de votre mail je vais vous communiquer mon tel. bon we vero<br /> <br /> <br />
I
Je me suis abonnée au site "Violences conjugales" de Google. Et ce matin tes articles sont arrivés... J'ai lu avec beaucoup d'attention et d'émotion ton témoignage bouleversant sur cette injustice qui poursuit les victimes et les accable davantage... En te lisant, j'ai retrouvé toutes ces émotions, ces blessures et ce sentiment d'impuissance et d'injustice, face au pervers qui manipule si facilement les hommes de loi sensés vous protéger. Aujourd'hui encore, je ressens de la colère face à cette inertie, cette indifférence devant la douleur et ce poids rajouté sur tes épaules, car même avec des preuves, "Il" s'en sort... Et recommence avec d'autres! Je suis dégoûtée. J'attends moi-même d'être suffisamment forte, pour aider aussi d'autres femmes en souffrance: Que ma douleur ne soit pas vaine, mais qu'elle puisse aider d'autres femmes maltraitée, bafouée. Transformer en positif ce qui a été négatif ! J'ai écris un bouquin que j'ai mis en ligne sur mon site pour exorciser ma souffrance et peut-être que mon témoignage aidera d'autres personnes... Ecrire m'a fait du bien. Maintenant j'essaie de vivre avec cette blessure en moi, mais la cicatrice est encore douloureuse, mais j'avance, j'avance de toute mon énergie, de tout mon coeur, seul le temps atténuera, mais Dieu qu'il est long le chemin qui mène à la paix du coeur et efface les tourments de l'âme.Merci pour ton témoignage... BisesIsabelle
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V
<br /> MERCI iSABELLE, EN FAIT JE SUIS EN RAGE? JE SUBLIME MA COLERE EN AIDANT LES AUTRES ; eN INT2GRANT NI PUTES NI SOUMISES J'AGIS POUR TOUTES CELLES QUI SOUFFRENT EN SILENCE; BISOU ISA; J4AIME TON<br /> PRENOM QUI EST CELUI DE MA SOEUR ET DE MA BELLE SOEUR<br /> <br /> <br />