Avril 2009: encore une femme massacrée en france

Publié le par vero

Un homme de 76 ans doit être déféré demain au parquet de Versailles pour être mis en examen pour «séquestration, actes de torture et de barbarie». Jeudi soir, aux environs de 23 h 50, les policiers ont interpellé à son domicile de Magnanville ce retraité qui venait de défigurer à coups de poing sa femme. Les premiers éléments de l'enquête indiquent qu'il la battait régulièrement depuis deux semaines.
La victime âgée elle aussi de 76 ans avait des traces de coups sur tout le corps, sa lèvre était fendue et une oreille coupée. Le couple était enfermé depuis au moins deux semaines et ne sortait plus. C'est une voisine qui, entendant les appels au secours de la femme, a alerté les forces de l'ordre. Le mari violent a expliqué aux policiers qu'il frappait son épouse parce que, il y a des années de cela, elle l'avait trompé. Le fils du couple, âgé de 40 ans, a lui aussi été placé en garde à vue. Il devrait être mis en examen pour «non assistance à personne en danger». La victime hospitalisée à Mantes-la-Jolie n'a pas pu être auditionnée par les enquêteurs, hier.
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Publié dans VIOLENCE CONJUGALE

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R
<br /> <br /> Je "vis" dans une rue à Belleville, Paris, où cafés, hôtels, restaurants organisent le trafic de drogue. Je ne peux pas rentrer le soir de peur de me faire tuer (car les dealers, qui ont commencé très jeunes et qui campent dans ma toute petite rue règlent leurs comptes de cette façon). Les employés en charge d'enlever les poubelles dans notre immeuble ne passent pas parfois plusieurs semaines de suite car ils ont peur quand ils voient le trafic qui se déroule dans mon immeuble. Les dealers pissent jusqu'au premier étage de l'immeuble tous les soirs, inutile de préciser que personne ne passe pour nettoyer. Je ne peux pas dormir car la quarantaine de dealers qui squatte ma rue étroite hurle toute la nuit et souvent se flingue. Ces dealers rigolent quand ils voient la police arriver, ils savent très bien qu'on ne leur fera rien. D'ailleurs quand je dis aux policiers qu'il y a du trafic de drogue dans ma rue, les policiers, sexistes, m'insultent  et les dealers comme par hasard au courant des auteurs des plaintes me menacent de viol et de mort. La plante de cannabis est trafiquée dans des laboratoires criminels et rend les personnes qui en consomment hyper excités et d'autant plus dangereux qu'il s'agit de dealers. Je ne comprends pas que cette situation puisse être tolérée dans un pays démocratique comme la France.<br />
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V
<br /> merci de votre témoignage;hier je suis allée voir" la journée de la jupe"le film d'Isabelle Adjani,que je conseille car trés beau mais criant lui aussi la violence des hommes et l'horrible<br /> complaisance  de la justice.Il faut des electros chocs comme ce film pour faire eclatter a la face de la société la lacheté de la justice face aux victimes.<br /> Oui la justice est complaisante face aux criminels,elle les valide dans leur toute puissance et ne protège oas les victimes.<br /> Le débat est fort et terrible,le mal semble être plus fort que le bien,il faut que des voix s'élèvent que la prise de conscience germe et croisse.courrage a toi,rejoins nous à "ni putes ni soumises<br /> ensemble nous sommes plus fortes.vero <br /> <br /> <br />
R
<br /> <br /> Je "vis" dans une rue à Belleville, Paris, où cafés, hôtels, restaurants organisent le trafic de drogue. Je ne peux pas rentrer le soir de peur de me faire tuer (car les dealers, qui ont commencé très jeunes et qui campent dans ma toute petite rue règlent leurs comptes de cette façon). Les employés en charge d'enlever les poubelles dans notre immeuble ne passent pas parfois plusieurs semaines de suite car ils ont peur quand ils voient le trafic qui se déroule dans mon immeuble. Les dealers pissent jusqu'au premier étage de l'immeuble tous les soirs, inutile de préciser que personne ne passe pour nettoyer. Je ne peux pas dormir car la quarantaine de dealers qui squatte ma rue étroite hurle toute la nuit et souvent se flingue. Ces dealers rigolent quand ils voient la police arriver, ils savent très bien qu'on ne leur fera rien. D'ailleurs quand je dis aux policiers qu'il y a du trafic de drogue dans ma rue, les policiers, sexistes, m'insultent  et les dealers comme par hasard au courant des auteurs des plaintes me menacent de viol et de mort. La plante de cannabis est trafiquée dans des laboratoires criminels et rend les personnes qui en consomment hyper excités et d'autant plus dangereux qu'il s'agit de dealers. Je ne comprends pas que cette situation puisse être tolérée dans un pays démocratique comme la France.<br />
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