Article sur les conséquences des violences conjugales

Publié le par vero

Étude pilote sur les violences faites aux femmes

Sus aux troubles psychotraumatiques

10 jours / 7 nuits, vols, taxes, transferts, demi-pension

(boissons incluses au dîner)

Les conditions de l’étude

Sur 164 patients de 16-64ans suivis en 2007-2008 par le DrMuriel Salmona, dans

sa consultation privée de psychiatrie à Bourg-la-Reine et la consultation municipale

pilote, gratuite et anonyme, de femmes victimes de violences à Clamart (septembre

2007), 64, dont 9femmes, ont répondu à un questionnaire de 50 pages, tandis que

13 autres, parmi lesquels un homme, se sont entretenus pendant deux à trois

heures avec le sociologue Pierre Chalmeton. Parallèlement, la psychiatre-psychothérapeute

fait état de l’impact d’une formation en psychotraumatologie, de une à

deux journées, qu’elle a assurée auprès de 400 professionnels travaillant dans les

secteurs médical, socio-éducatif et judiciaire. L’étude, qui s’inscrit dans le cadre du

Conseil de prévention de la délinquance, a réuni le conseil général, les communes

et les associations des Hauts-de-Seine, tous mobilisés dans la lutte contre les violences

faites aux femmes. Commanditée par la Délégation aux droits des femmes,

elle a été financée par la politique de la Ville*.

Le DrMuriel Salmona, responsable de l’antenne 92 de l’Institut de victimologie (formation,

recherche, expertise, prise en charge), occupe les fonctions de médecincoordinateur

Victimo**, réseau de santé francilien créé en 2001, qui a pour vocation

de fédérer à terme toutes les consultations de psychotraumatologie du pays.

Cinquante-cinq pour cent des patients du Dr Salmona lui sont adressés par des

confrères, des associations ou des personnels sociaux, 5% par la justice et 40% viennent

de leur propre initiative. Étant porteurs de troubles graves de la personnalité, ils

bénéficient d’une prise en charge à 100% de l’assurance-maladie.

* murielsalmona@wanadoo.fr.

** victimo.fr.

Les femmes victimes souffrent d’une grande solitude

BSIP

Selon un processus

similaire, la victime apparaît

comme étant la drogue de

l’agresseur.

Grâce à une prise en charge

 

Or « les violences,

particulièrement quand elles sont

répétées, sont à l’origine de mécanismes

neurobiologiques de sauvegarde

(stress) qui font disjoncter

le circuit émotionnel au

niveau cérébral

 

, explique la spécialiste.

Je vous propose de lire l'étude complète du docteur Salmona  dans mes pages.
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A
la doc est tres etoffée bravo
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N
je suis interpellelée par votre assisduité a alimenter votre blog. il devient un mine d'information. les pages sont tres interressantes aussi. nanaou
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C
je trouve vos onfos tre interressantes, continuez a informer. chrris
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